lundi 12 juillet 2010

Page 95 à page 141

Bonsoir !

La lecture se poursuit dans les transports en commun.

J'arrive à lire de plus en plus de pages d'une traite, je crois que c'est l'accoutumance... Enfin bon, je vous rassure, je ne suis pas scotchée au bouquin non plus !

Alors, quoi de nouveau sous le soleil ?

Du côté de Junior, je crois qu'on pourrait difficilement trouver des idées encore plus tirées par les cheveux. Le bébé a deux ans, il appelle Josiane "Mère", parle comme un adulte, ne supporte pas les enfants de son âge et il explique à sa maman ignare pourquoi La Bruyère a écrit Les Caractères. C'est absurde, et le pire, c'est que ce décalage n'est même pas drôle.

Une petite perle pour la route :

Les pelouses vertes soigneusement entretenues formaient de larges taches vertes où l'oeil pouvait se reposer.
A défaut de dire "C'est toi, la tache", je suggère à Katherine d'aller elle aussi reposer ses yeux en regardant les taches vertes parce que là, je crois qu'elle ne voit pas bien ce qu'elle écrit.

On retrouve Marcel le gros vieux gentil (et père de Junior accessoirement). Bon, on savait qu'il avait un penchant pour le cul mais là, Katherine s'est lâchée avec une phrase quasi pornographique. A croire que l'eau de rose ne lui suffisait plus... Attention, âmes sensibles, s'abstenir !

Il avait attendu toute la journée l'instant magique où il se poserait sur le corps de Josiane et la pénètrerait violemment, puissamment (...).
A quand une scène de fellation, je vous le demande.

Puis on retourne voir Shirley et Gary. Pas de lave-vaisselle cette fois-ci mais on va enfin découvrir qui est le père du pauvre enfant. On s'attendait à un truc complètement barré (un tueur, un agent secret, un intermittent du spectacle, un chien...) mais en fait, c'est juste un Écossais de bonne famille qui a niqué Shirley et qui, du coup, lui a laissé une surprise dans le Kinder. Et qui n'a pas assumé sa paternité. Le truc trop simple. Mais ne vous inquiétez pas, je suis sûre qu'il y a quand même un mic-mac caché derrière cette apparente banalité.

Les deux phrases à retenir pour ce passage :

Les lasagnes étaient succulentes, Glenn Gould nous accompagne. On fait hmm-hmm du fond de la gorge et on est reliés.
Et moi je fais hmm-hmm tellement ça me laisse perplexe, une phrase pareille.

Il n'a été qu'un lanceur de spermatozoïdes. Pressé de jouir et de partir.
Le lancer de spermatozoïdes, on devrait y penser pour les J.O !

On continue avec Joséphine qui se pisse dessus car elle doit passer son HDR. Elle repense à son bouquin Une si humble reine qui n'a pas reçu que des compliments:

On murmurait dans son dos, on se moquait, on traitait son livre de littérature Harlequin...
Katherine se serait-elle inspirée de son expérience personnelle ? Phrase réjouissante en tout cas.

Et on finit avec Henriette, le Cure-dents, qui va nous pondre une nouvelle stratégie pour tirer de l'oseille à Marcel, inspirée par un tableau de Judas dans une chapelle.

Ben oui, fallait bien relancer l'intrigue un peu, non ?

A demain pour la suite !

2 commentaires:

  1. Elle a un problème avec les pâtes elle non ? Entre les tagliatelles et les lasagnes... elle est inspirée...

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  2. Oui ! Les pâtes, on n'a pas fini d'en entendre parler... Je crois même qu'à un moment il est question de "La vie est jolie comme un plat de spaghetti". Outch !
    #FAIL

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